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[FB] la ville où tout commence
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Jack
Mer 21 Fév 2024 - 21:30
![[FB] la ville où tout commence Img_2017](https://i.servimg.com/u/f88/15/88/68/45/img_2017.jpg)
Cela faisait seulement deux semaines que Jack avait embarqué à bord du Mistral comme simple membre d’équipage. La mer c’était son truc, aussi loin qu’il s’en souvienne, il avait toujours aimé la mer et surtout la navigation. Moment unique de partage entre la nature et l’homme, l’océan le fascinait et l’effrayait à la fois. Car il avait été témoin à plusieurs reprises de ses colères phénoménales.
Quoiqu’il en soit, c’était le genre d’homme plus à l’aise en mer que sur la terre ferme. Et même s’il avait bien évidemment d’autres aspirations pour la suite de sa carrière, il n’était pas mécontent d’avoir trouvé ce boulot temporaire. Le capitaine avait rapidement remarqué ses talents à bord, en même temps Jack avait tout fait pour se vendre et ainsi embarquer le plus loin possible de son ancienne vie.
La vie à bord n’était pas palpitante, loin de là. Ses collègues étaient pour la plupart de pauvres bougres, qui n’avaient pas vraiment d’autres perspectives professionnelles que de faire le larbin dans un navire de commerce durant le reste de leurs jours. Car, il fallait être conscient, le travail était dur et usant, les journées à rallonge étaient souvent la norme, la solde ridicule au vu des risques encourus.
Pirates, tempête, monstres marins, avaries, accident de travail, voici une liste non exhaustive de ce qui pouvait à tout moment vous tomber sur le coin du nez à bord d’un navire.
Le jeune Jack ne savait pas ce qu’il devait craindre le plus, au moins contre des pirates, il pouvait compter sur sa dextérité avec les armes à feu. C’était d’ailleurs une originalité à bord du navire de commerce. C’était le seul qui se baladait avec une paire de pistolets à la ceinture. En temps normal, jamais le capitaine n’aurait accepté une telle chose bien évidemment. Mais le jeune homme n’était pas venu sur son embarcation par hasard, il avait été chaudement recommandé par un proche. Ce dernier aurait naturellement refusé tout pirate à bord, mais pour un contrebandier il décida de fermer les yeux. D’autant plus qu’il avait brièvement connu son père et avait eu vent de son tragique destin.
Il n’était pas là pour faire du social, mais le gamin se démerdait excessivement bien à bord et c’était une petite garantie de ne pas avoir d’emmerdes.
En tout cas après quinze jours bien éprouvants, ils allaient enfin pouvoir souffler durant une nuit et deux jours dans la ville de Logue Town. Le temps nécessaire pour décharger et charger de la marchandise et pour que la capitaine puisse régler deux ou trois histoires de paperasse. Pour l’équipage c’était surtout l’occasion de profiter un peu et voir autre chose que la mer. Il ne fallait pas être devin pour comprendre qu’une fois le pied à terre, ils iraient tous se ruer dans la première taverne pour pouvoir boire des pintes. La taverne était bien plus qu’un simple débit de boissons pour les marins, c’était aussi l’endroit idéal pour trouver du boulot, se tenir informé des derniers évènements. En ce moment l’un des principaux sujets qui captivait l’attention de tous, c’était la piraterie. Phénomène en pleine recrudescence, même si d’après les témoignent de nombreux briscards, East Blue semblait moins impacter que d’autres Blues. Toutefois, la situation d’Orange Town prouvait à lui seul qu’il ne fallait pas prendre ce problème à la légère.
Jack, quant à lui n’avait pas envie de se ruer tout de suite dans l’établissement pour finir le cul sur un tabouret inconfortable pour le restant de sa journée. Il voulait avant tout profiter pour se balader en ville, il aimait et flânait ainsi pendant parfois des heures. Tout en sachant qu’il terminerait, tôt ou tard, par rejoindre ses collègues. Il était surtout très curieux d’une chose, de se rendre sur l’esplanade qui avait vu la fin du dernier Seigneur des Pirates, Gold D Roger. Gamin, son père l’avait déjà emmené ici, mais il n’avait plus tellement de souvenirs. Et puis ce n’était pas rien, cet endroit faisait partie de la légende, n’importe quel pirate au monde avait forcément envie de venir un jour ou l’autre ici. Loin de pouvoir encore se prétendre pirate et encore moins de la même veine qu’un Roger. Jack ressentait tout de même une immense fierté dans la ville où tout commence et où tout se termine. Combien d’illustres pirates avaient marché eux aussi à cet endroit ?
Quoiqu’il en soit, c’était le genre d’homme plus à l’aise en mer que sur la terre ferme. Et même s’il avait bien évidemment d’autres aspirations pour la suite de sa carrière, il n’était pas mécontent d’avoir trouvé ce boulot temporaire. Le capitaine avait rapidement remarqué ses talents à bord, en même temps Jack avait tout fait pour se vendre et ainsi embarquer le plus loin possible de son ancienne vie.
La vie à bord n’était pas palpitante, loin de là. Ses collègues étaient pour la plupart de pauvres bougres, qui n’avaient pas vraiment d’autres perspectives professionnelles que de faire le larbin dans un navire de commerce durant le reste de leurs jours. Car, il fallait être conscient, le travail était dur et usant, les journées à rallonge étaient souvent la norme, la solde ridicule au vu des risques encourus.
Pirates, tempête, monstres marins, avaries, accident de travail, voici une liste non exhaustive de ce qui pouvait à tout moment vous tomber sur le coin du nez à bord d’un navire.
Le jeune Jack ne savait pas ce qu’il devait craindre le plus, au moins contre des pirates, il pouvait compter sur sa dextérité avec les armes à feu. C’était d’ailleurs une originalité à bord du navire de commerce. C’était le seul qui se baladait avec une paire de pistolets à la ceinture. En temps normal, jamais le capitaine n’aurait accepté une telle chose bien évidemment. Mais le jeune homme n’était pas venu sur son embarcation par hasard, il avait été chaudement recommandé par un proche. Ce dernier aurait naturellement refusé tout pirate à bord, mais pour un contrebandier il décida de fermer les yeux. D’autant plus qu’il avait brièvement connu son père et avait eu vent de son tragique destin.
Il n’était pas là pour faire du social, mais le gamin se démerdait excessivement bien à bord et c’était une petite garantie de ne pas avoir d’emmerdes.
En tout cas après quinze jours bien éprouvants, ils allaient enfin pouvoir souffler durant une nuit et deux jours dans la ville de Logue Town. Le temps nécessaire pour décharger et charger de la marchandise et pour que la capitaine puisse régler deux ou trois histoires de paperasse. Pour l’équipage c’était surtout l’occasion de profiter un peu et voir autre chose que la mer. Il ne fallait pas être devin pour comprendre qu’une fois le pied à terre, ils iraient tous se ruer dans la première taverne pour pouvoir boire des pintes. La taverne était bien plus qu’un simple débit de boissons pour les marins, c’était aussi l’endroit idéal pour trouver du boulot, se tenir informé des derniers évènements. En ce moment l’un des principaux sujets qui captivait l’attention de tous, c’était la piraterie. Phénomène en pleine recrudescence, même si d’après les témoignent de nombreux briscards, East Blue semblait moins impacter que d’autres Blues. Toutefois, la situation d’Orange Town prouvait à lui seul qu’il ne fallait pas prendre ce problème à la légère.
Jack, quant à lui n’avait pas envie de se ruer tout de suite dans l’établissement pour finir le cul sur un tabouret inconfortable pour le restant de sa journée. Il voulait avant tout profiter pour se balader en ville, il aimait et flânait ainsi pendant parfois des heures. Tout en sachant qu’il terminerait, tôt ou tard, par rejoindre ses collègues. Il était surtout très curieux d’une chose, de se rendre sur l’esplanade qui avait vu la fin du dernier Seigneur des Pirates, Gold D Roger. Gamin, son père l’avait déjà emmené ici, mais il n’avait plus tellement de souvenirs. Et puis ce n’était pas rien, cet endroit faisait partie de la légende, n’importe quel pirate au monde avait forcément envie de venir un jour ou l’autre ici. Loin de pouvoir encore se prétendre pirate et encore moins de la même veine qu’un Roger. Jack ressentait tout de même une immense fierté dans la ville où tout commence et où tout se termine. Combien d’illustres pirates avaient marché eux aussi à cet endroit ?
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Mick Niccals
Mar 27 Fév 2024 - 15:40
Mon départ un peu précipité de Shimotsuki me poussa à errer dans les mers durant de nombreux jours, esquivant volontairement les îles afin de profiter pleinement de l’air et de la vie marine m’ayant tant manqué. Un véritable bol d’air vécu seul sur mon embarcation pas beaucoup plus grande qu’une chaloupe sur laquelle les provisions dont je disposais commençaient à régresser à vue d'œil.
Voyant mon futur manque d’eau, nourriture et de cigarettes s’approcher de plus en plus, il me fallait me résoudre à accoster à la prochaine île en vue. Je possédais encore quelques maigres berries et bien que ma canne à pêche de fortune me suffise à survivre, il n’en allait pas de pair avec le tabac et potentiellement quelques nouveaux outils de navigation. Grand Line était toujours dans ma ligne de mire et bien que je ne m’étais jusque-là pas trop pressé d’avancer dans cette quête, il fallait bien préparer cette traversée vers des contrées si peu accueillantes comparé aux mers des blues.
C’est ainsi que le destin mêlé au vent et aux courants marins finit par m’amener vers une île contenant la ville au passé si particulier qu’aucun être de ce monde n'a pu ignorer son existence : Logue Town, la ville où tout commence et tout se termine.
J’y ai mis les pieds à de nombreuses reprises dans ma jeunesse et bien que de nombreuses années sont passées depuis, rien ne semble avoir drastiquement changé ici, autant de par son esthétique que son ambiance. Quoiqu’il en soit, cette ville était un espace commercial important, nulle doute que je trouverais tout ce dont j’ai besoin ici. Ni une, ni deux, j’accosta ma modeste embarcation au port avant de poser le pied sur cette ville, mère de la nouvelle ère de piraterie.
Une fois sur la terre ferme, lorsque le léger déséquilibre d’après une longue traversée en mer cessa de me gêner, je dégaina mon paquet de cigarette dans lequel trônait deux clopes roulées préalablement par mes soins par souci d’économie. Ces deux-là étaient mes dernières, d’où l’urgence d’accoster. Néanmoins, je me saisis de l’une d’entre elles avant de l’allumer et de commencer mon vagabondage en ces lieux.
Ma déambulation, me mêlant à la foule, m’amena dans une première boutique dans laquelle je pu refaire mes stock de tabac, feuilles ainsi que quelques vivres supplémentaires en cas de pêche infructueuse. Toutefois, concernant la navigation, rien d’utile ne se présenta devant moi, me poussant à poursuivre ma route mêlée à un peu de tourisme.
C’est ainsi que j'atterris sur la grande place principale de la ville, un espace immense et dégagé sur lequel l’ancien roi des pirates est mort. Un symbole fort autant pour les pavillons noirs que pour les gouvernements. Pour ma part, autant le trésor que la mort d’un pirate ne m'affecte pas réellement, seul l’aspect de l’homme libre exécuté pour ses richesses et méfaits pouvait me pousser à la réflexion. Alors que je détourna finalement le regard de cet échafaud, mon sac de course à la main et ma clope au bec, un homme visiblement peu attentif me percuta d’un coup d’épaule inattentif, faisant chuter ma dernière cigarette au sol.
[Mick] “Fais attention où tu met les pieds gamin !”
Voyant mon futur manque d’eau, nourriture et de cigarettes s’approcher de plus en plus, il me fallait me résoudre à accoster à la prochaine île en vue. Je possédais encore quelques maigres berries et bien que ma canne à pêche de fortune me suffise à survivre, il n’en allait pas de pair avec le tabac et potentiellement quelques nouveaux outils de navigation. Grand Line était toujours dans ma ligne de mire et bien que je ne m’étais jusque-là pas trop pressé d’avancer dans cette quête, il fallait bien préparer cette traversée vers des contrées si peu accueillantes comparé aux mers des blues.
C’est ainsi que le destin mêlé au vent et aux courants marins finit par m’amener vers une île contenant la ville au passé si particulier qu’aucun être de ce monde n'a pu ignorer son existence : Logue Town, la ville où tout commence et tout se termine.
J’y ai mis les pieds à de nombreuses reprises dans ma jeunesse et bien que de nombreuses années sont passées depuis, rien ne semble avoir drastiquement changé ici, autant de par son esthétique que son ambiance. Quoiqu’il en soit, cette ville était un espace commercial important, nulle doute que je trouverais tout ce dont j’ai besoin ici. Ni une, ni deux, j’accosta ma modeste embarcation au port avant de poser le pied sur cette ville, mère de la nouvelle ère de piraterie.
Une fois sur la terre ferme, lorsque le léger déséquilibre d’après une longue traversée en mer cessa de me gêner, je dégaina mon paquet de cigarette dans lequel trônait deux clopes roulées préalablement par mes soins par souci d’économie. Ces deux-là étaient mes dernières, d’où l’urgence d’accoster. Néanmoins, je me saisis de l’une d’entre elles avant de l’allumer et de commencer mon vagabondage en ces lieux.
Ma déambulation, me mêlant à la foule, m’amena dans une première boutique dans laquelle je pu refaire mes stock de tabac, feuilles ainsi que quelques vivres supplémentaires en cas de pêche infructueuse. Toutefois, concernant la navigation, rien d’utile ne se présenta devant moi, me poussant à poursuivre ma route mêlée à un peu de tourisme.
C’est ainsi que j'atterris sur la grande place principale de la ville, un espace immense et dégagé sur lequel l’ancien roi des pirates est mort. Un symbole fort autant pour les pavillons noirs que pour les gouvernements. Pour ma part, autant le trésor que la mort d’un pirate ne m'affecte pas réellement, seul l’aspect de l’homme libre exécuté pour ses richesses et méfaits pouvait me pousser à la réflexion. Alors que je détourna finalement le regard de cet échafaud, mon sac de course à la main et ma clope au bec, un homme visiblement peu attentif me percuta d’un coup d’épaule inattentif, faisant chuter ma dernière cigarette au sol.
[Mick] “Fais attention où tu met les pieds gamin !”
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Jack
Dim 17 Mar 2024 - 11:05
Jack venait de percuter de façon malencontreuse l’épaule d’un passant présent sur son chemin. Le genre d’évènement qui arrive fréquemment, surtout dans une ville aussi fréquentée. Son premier réflexe fut bien é videment de s’excuser sans prendre le temps de jeter un regard vers son interlocuteur. Toutefois, le jeune homme fut intrigué par le type qui se tenait face à lui.
Il avait eu l’occasion de croiser à maintes reprises de drôles de zigotos tout au long de son existence. Certains plus fréquentables que d’autres, mais ils étaient tous reconnaissables entre mille. Et justement celui-ci ne faisait pas exception à la règle. À première vue on aurait dit un vulgaire clodo prêt à vous taxer un peu de tunes pour s’acheter une bouteille de rhum. Le genre baroudeur raté, ayant les poches vides depuis bien trop longtemps, capable de vous raconter mille et une histoires toutes plus farfelues les unes que les autres pour acheter votre sympathie et vous gratter quelques berrys.
Mais Jack était de très bonne humeur aujourd’hui et il avait envie de se changer les idées. Lasse d’entendre une énième histoire d’un marin parlant de sa grosse Berta restée à terre avec ses cinq marmots qui devait surement être à l’heure actuelle en train de se faire soulever par le facteur.
D’autant plus qu’il le savait dans toute histoire aussi farfelue soit-elle, résidait une part de vérité. Ce type semblait avoir vadrouillé un minimum, il avait surement quelque chose d’intéressant à apprendre à notre jeune marin d’eau douce. À défaut, Jack avait dans tous les cas du temps à tuer ici.
Alors, pas timide pour un sou, il engagea un début de conversion :
« Désolé mec, j’étais dans mes pensées. Tu es du coin peut-être ? Je cherche à en savoir davantage sur cette île et surtout son histoire ! »
Jack hésita à prononcer le nom de Gold D. Roger, car même aujourd’hui c’est un nom qu’il est préférable de ne prononcer devant n’importe qui. Mais peu de chance que ce gringo soit du Gouvernement Mondial. Sa seule crainte, de tomber sur ses fanatiques de révolutionnaires, de véritable nid à emmerdes ces types. Capable de faire sauter toute une ville pour leur cause à la con sans se soucier des dommages collatéraux.
« A tout hasard … tu ne serais pas un révolutionnaire hein ?! »
Par acquis de conscience le jeune homme regarda derrière lui pour détecter la présence d’autres hurluberlu comme son interlocuteur, car il le savait les révolutionnaires ne se déplaçaient jamais seul. Jack respira également un grand coup pour sentir l'air ambiant, car la rumeur voulait que les révolutionnaires ne se lavent jamais, c'était d'ailleurs un signe de reconnaissance entre eux.
Il avait eu l’occasion de croiser à maintes reprises de drôles de zigotos tout au long de son existence. Certains plus fréquentables que d’autres, mais ils étaient tous reconnaissables entre mille. Et justement celui-ci ne faisait pas exception à la règle. À première vue on aurait dit un vulgaire clodo prêt à vous taxer un peu de tunes pour s’acheter une bouteille de rhum. Le genre baroudeur raté, ayant les poches vides depuis bien trop longtemps, capable de vous raconter mille et une histoires toutes plus farfelues les unes que les autres pour acheter votre sympathie et vous gratter quelques berrys.
Mais Jack était de très bonne humeur aujourd’hui et il avait envie de se changer les idées. Lasse d’entendre une énième histoire d’un marin parlant de sa grosse Berta restée à terre avec ses cinq marmots qui devait surement être à l’heure actuelle en train de se faire soulever par le facteur.
D’autant plus qu’il le savait dans toute histoire aussi farfelue soit-elle, résidait une part de vérité. Ce type semblait avoir vadrouillé un minimum, il avait surement quelque chose d’intéressant à apprendre à notre jeune marin d’eau douce. À défaut, Jack avait dans tous les cas du temps à tuer ici.
Alors, pas timide pour un sou, il engagea un début de conversion :
« Désolé mec, j’étais dans mes pensées. Tu es du coin peut-être ? Je cherche à en savoir davantage sur cette île et surtout son histoire ! »
Jack hésita à prononcer le nom de Gold D. Roger, car même aujourd’hui c’est un nom qu’il est préférable de ne prononcer devant n’importe qui. Mais peu de chance que ce gringo soit du Gouvernement Mondial. Sa seule crainte, de tomber sur ses fanatiques de révolutionnaires, de véritable nid à emmerdes ces types. Capable de faire sauter toute une ville pour leur cause à la con sans se soucier des dommages collatéraux.
« A tout hasard … tu ne serais pas un révolutionnaire hein ?! »
Par acquis de conscience le jeune homme regarda derrière lui pour détecter la présence d’autres hurluberlu comme son interlocuteur, car il le savait les révolutionnaires ne se déplaçaient jamais seul. Jack respira également un grand coup pour sentir l'air ambiant, car la rumeur voulait que les révolutionnaires ne se lavent jamais, c'était d'ailleurs un signe de reconnaissance entre eux.
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