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Narrateur
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Admin
Jeu 5 Oct 2023 - 20:23
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Cimetèrrie

Affiliation : Révolution

Superficie : Moyenne-Grande

Population : 183 000

Effectif Marine : 0

Effectif révo : 21 000

Effectif pirate : 9000

Milice locale : 3000


Cimetèrrie, l’île du pacte plurimillénaire. Cette île bien définie, outre son affiliation à la Révolution, se singularise par son immense cimetière d’épées dont les lames géantes, résolument enfoncées dans le sol, témoignent de la mort de guerriers aussi lointains qu’illustres. Il se dit qu’ici, jadis, les géants d’Elbaf ont affronté les derniers géants antiques qui furent jadis les fléaux de ce monde.

Nombre de braves, comptant parmi eux les héros les plus illustres d’Erbaf, périrent sur cette terre qui, maculée de leur sang ainsi que de leur victoire, revêtit bien assez tôt un caractère sacré. Les géants d’Erbaf viennent ici tous tous les quatre ans en pèlerinage afin de commémorer cet événements historique majeur, bien qu’oublié de tous par-delà les rivages de Cimetèrrie.

L’île est en effet si sacrée pour les géants que ceux-ci, d’après leurs rites héroïques, ne doivent jamais en fouler la terre excepté lorsque l’alignement des constellations le leur permet. Une tradition plurimillénaire qui, si elle est enfreinte, peut-être punie de la peine de mort.

Toutefois, pour sacrée que se trouve être cette terre, elle est aussi prisée et convoitée des charognards des plus diverses obédiences qui soient. Les épées titanesque de Cimetèrie peuvent en effet se vendre pour plusieurs centaines de millions de berries pièce. De quoi attirer la convoitise des plus impies.

Afin de ne pas enfreindre leurs traditions, les géants d’Erbaf ont alors délégué la protection des vestiges de leurs aïeux à des humains établis sur place. Ceux-là, descendants lointains des populations réduites en esclavages par les géants antiques, s’acquittent ainsi de leur charge depuis des millénaires.

L’ère de piraterie qui aura secoué le monde entier aura néanmoins attisé les appétits voraces et cupide de bon nombre de pirates et autres ruffians. Depuis une décennie déjà, la garde de Cimetèrrie ne compte plus les assauts multiples venus se commettre afin de voler le trésor des géants. Pour cette raison, les autorités de l’île – n’ayant aucune confiance à accorder au Gouvernement Mondial – se sont inféodés à la Révolution afin que ceux-ci les aident à protéger leur île et ses vestiges sacrés. En échange de quoi, l’Armée Révolutionnaire trouve ici une base-arrière pour ses opérations à travers Grand Line.

Malgré ce contingent d’hommes et de femmes venus au secours des gardiens de Cimetèrrie, les charognards persistent à affluer. Pire encore, il semblerait qu’un Marquis de la Cross Guild, peu scrupuleux dans ses œuvres, se soit allié à la piraterie sur place afin de commettre leurs méfaits. Non loin derrière eux, tapis dans l’obscurité de leur clandestinité sinistre, la Communauté de l’Ombre y a aussi répandu ses pions. Car partout où des trafics illégaux seront de mise, les traces d’ongles de leurs doigts griffus seront toujours perceptibles.

Pour ne rien arranger, l’agent de liaison de la Communauté de l’Ombre, appartenant à la race des cornue, se croit partager le sang des géants antiques au prétexte que, eux aussi, portaient des cornes sur la tête. Celle-ci s’est donc faite un sacerdoce de ternir l’héritage d’Elbaf. C’est d’ailleurs grâce à son opiniâtreté et son génie stratégique que, bien qu’avec des effectifs inférieurs à ceux des locaux alliés aux révolutionnaires, celle-ci parvînt à piller et vendre la plus fameuse épée de l’île, celle-ci étant à présent entreposée à Quartzoo.    
Gratitown
Gratitown
Souhaitant circonscrire au mieux l’urbanisation de l’île de sorte à ne pas la profaner de trop d’habitations, Gratitown constitue la seule et unique ville de tout Cimetèrrie. L’Armée Révolutionnaire et les locaux, récemment ralliés à ces derniers, y vivent ici en bonne intelligence dans un cadre prospère, sous l’ombrage de l’épée du Quodans, géant qui, jadis, se serait sacrifié ici afin de protéger les esclaves humains des géants antiques.

Les pirates et autres criminels du même ordre ne sont pas les bienvenus ici. Qui a sur sa tête une prime et n’est pas affilié à l’Armée Révolutionnaire n’aura ici que des problèmes à trouver.
Les Plaines Grasses
Les Plaines Grasses
Entourée des innombrables récifs montagneux de l’île, les Plaines Grasses sont autant de lieux où y afflue le gibier. Sur Cimetèrrie, en effet, l’agriculture y est proscrite afin de le pas dénaturer les paysages sacrés de l’île. Aussi, on y élève de très nombreux herbivores qui, laissés en liberté dans les hautes-herbes, prospèrent et croissent sous le contrôle discret des Cimettèriens.
Bien que ces créatures ne soient officiellement les propriétés de nul éleveur, en tuer plus d’une à la fois pour se nourrir est passible de la peine de mort.
Pierre Fourreau
Pierre Fourreau
Dans les crevasses escarpées, au milieu des récifs montagneux, on y trouve là aussi de très nombreuses épées de légende qui, si bien enfoncées dans la roche, s’avèrent plus difficile à extraire qu’ailleurs. C’est dans cette partie de l’île spécifique où les épées des héros y sont les moins surveillées par les autochtones. C’est aussi ici, sur des échafaudages éphémères longeant les parois rocailleuses, que ce sont installés les pillards.

Les chemins sont ici tellement escarpés et étroits qu’ils s’avèrent plus facile à défendre qu’ailleurs d’un quelconque assaut. Mais les gardiens de Cimetèrrie veillent aux alentours et ont établi un campement à chaque entrée de crevasse. Aussi, quand bien même les profanateurs parviendraient à extraire les épée de la roche qu’ils travaillent âprement jours après jour, ceux-ci ne pourraient pas les transporter hors de l’île.

Du fait d’une surveillance si accrue, les profanateurs de Pierre-Fourreau ont recours à l’escalade pour quitter leur tanière sans passer par les chemins battus. C’est pour cette raison qu’on ne redoute que rarement – sinon jamais – les assauts massifs de ceux qui y vivent cloîtrés.
Les serpes langues
Les serpes langues
Au gré des combats menés pour défendre les vestiges de Cimetèrrie, de nombreux guerriers humains, après avoir péri au combat, ont joint leur épée à celle des héros des temps jadis. Dans leurs cimetières, une variété de serpent mangeuse de rocailles, au gré des générations, aura progressivement évolué pour devenir de bien curieux reptiles. Ceux-là ont en effet la tête en forme de lame d’épée et, aussi véloces que des serpents ordinaires, sont capable de mener un art de l’escrime tout particulier.

Créatures redoutables et territoriales, il arrive aux guerriers les plus entraînés de les affronter au sabre pour s’entraîner. Beaucoup, en s’essayant à cette épreuve, y ont cependant laissé la vie. On n’affronte pas de pareilles créatures sans se risquer à une mort sanglante et sans gloire.
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