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[Fiche d'île] Ruizel
Narrateur
AdminLun 25 Sep 2023 - 12:16
Ruizel
Affiliation : Révolution
Superficie : Moyenne-Grande
Population : 198 000
Effectif Marine : /
Effectif Révo : 18 000
Effectif pirate : 1000
Milice locale : 5000
D’abord investie par la Révolution en 1478, Ruizel n’était à l’origine qu’une île vierge trouvée sur Grand Line, celle-ci ayant pour seule particularité d’être garnie de cascades le long de ses récifs. Campés ici bien à l’abri du Gouvernement Mondial, les révolutionnaires développèrent l’île par-delà leurs espérances les plus folles. N’étant, jusqu’en 1511, uniquement parvenus à défricher la forêt pour établir des campements de fortune et un semblant de société balbutiante, l’entrée en scène du Professeur Tsufa bouleversa la donne en quelques années à peine.
Haï pour son intransigeance mais vénéré pour son génie, les hauts cadres de l’Armée Révolutionnaire l’accusèrent d’avoir réduit les travailleurs révolutionnaires de Ruizel en esclavage pour échafauder ses projets pharaoniques. Effectivement intraitable, ayant menacé de quitter la Révolution si on ne se montra pas corvéable à merci, le Professeur n’eut aucun scrupule à épuiser les travailleurs mis à sa disposition pour donner lieu à son projet.
Ruizel est à ce jour considérée comme le fleuron de la Révolution établi sur Grand Line. Une île aux mille merveilles dont le Professeur Tsufa ne profita pas, exilé qu’il fut à Garbeige aussitôt les travaux achevés. Son génie le prévînt de l’exécution, le contraignant néanmoins à élaborer des armes mortelles au milieu des déchets toxiques.
La vie aux abords des cascades – omniprésentes à Ruizel – était rendue impossible par le bruit assourdissant de la chute des eaux. Aussi, Tsufa élabora les plans de deux cités gigantesques, une située en amont des sommets de l’île, et l’autre, sur un parterre artificiel, loin du bruit et de la fureur de l’eau. Deux bijoux d’ingénierie qui, sans compter les Usines Hydro et un prototype Aqua-Bio, consacrèrent Ruizel comme l’île où l’eau y mène le monde.
L’accès à l’énergie permis par le flux continu des innombrables cascades suffirent à alimenter tout ce que l’île compta de technologiquement avancé. De quoi ainsi tenir la dragée haute à l’avance technique considérable dont se prévaut le Gouvernement Mondial.
À Ruizel, tout passe par l’eau. L’énergie, l’alimentation, le transport et les moyens de défense y sont tous corrélés.
Atteaulina
Éloignée du centre de l’île où les cascades y sont assourdissantes, Atteaulina, avant d’être la seule île par laquelle il est possible d’accoster, est aussi un bijou de construction nautique. La ville se présente en effet comme un ensemble de petites plateformes liées entre elles par des ponts jusqu’à former une presqu’île artificielle où y habitent plus de soixante-dix-mille âmes.
Les jardins aquatiques, trouvés sous l’eau entre chaque plateformes, assurent aux Ruizeliens la meilleure nourriture qui soit sur le plan de la santé. Ces algues spéciales qu’on y cultive, découvertes par le Professeur Stufa, offrent aux habitants le meilleur apport nutritif au monde, capable de stimuler l’organisme et prévenir ainsi d’innombrables maladies. Leur effet sur le métabolisme est tel que les adultes, parce qu’ils en consomment fréquemment, paraissant vingt à trente ans plus jeune que leur âge véritable.
Ce paradis révolutionnaire exhibe ainsi une superbe devanture alors que sa population, ainsi nourrie et soignée, est alors composée de figures athlétiques et énergique ; la figure d’un Homme Nouveau tel que celui désiré par l’Armée Révolutionnaire. Cette algue qu’on y cultive, cependant, ne permet pas une production de nourriture suffisamment conséquente pour s’exporter massivement. Quelques riches personnalités du Gouvernement Mondial, en secret et par des moyens de contrebande, importent cependant de l’algue d’Atteaulina afin de profiter de ses incontestables bienfaits. Cela, quitte à devoir payer le prix fort et ainsi enrichir des canailles révolutionnaires.
Les jardins aquatiques, trouvés sous l’eau entre chaque plateformes, assurent aux Ruizeliens la meilleure nourriture qui soit sur le plan de la santé. Ces algues spéciales qu’on y cultive, découvertes par le Professeur Stufa, offrent aux habitants le meilleur apport nutritif au monde, capable de stimuler l’organisme et prévenir ainsi d’innombrables maladies. Leur effet sur le métabolisme est tel que les adultes, parce qu’ils en consomment fréquemment, paraissant vingt à trente ans plus jeune que leur âge véritable.
Ce paradis révolutionnaire exhibe ainsi une superbe devanture alors que sa population, ainsi nourrie et soignée, est alors composée de figures athlétiques et énergique ; la figure d’un Homme Nouveau tel que celui désiré par l’Armée Révolutionnaire. Cette algue qu’on y cultive, cependant, ne permet pas une production de nourriture suffisamment conséquente pour s’exporter massivement. Quelques riches personnalités du Gouvernement Mondial, en secret et par des moyens de contrebande, importent cependant de l’algue d’Atteaulina afin de profiter de ses incontestables bienfaits. Cela, quitte à devoir payer le prix fort et ainsi enrichir des canailles révolutionnaires.
Overce
Située quant à elle sur le plus haut récif de l’île, tout en amont de la première cascade de Ruizel, Overce toise l’île du haut de sa magnificence. On y trouve là un centre de décision politique et stratégique à l’abri de toute invasion éventuelle. De nombreuses digues ont en effet été aménagées pour être ouvertes et y déverser un torrent d’eau coulant tout le long des remparts de la ville. Atteindre Overce sans aucun moyen aérien à sa disposition, est une entreprise ardue, sinon impossible. Et quand bien même l’invasion se tenterait par les airs, les canons à eau dont dispose l’île au sommet de ses gratte-ciels suffisent à soi à la chasser.
Tous les artisans de l’île, ceux-ci provenant de nombreuses contrées, élaborent diverses confections, que ce soit dans un atelier ou encore, dans les usines où les rouages mécaniques y sont alimentés par la force des cascades. L’île, sur le plan des bien manufacturés, est ainsi rendu quasiment auto-suffisante, garantissant une relative prospérité aux habitants qui, établis sur place, ne manquent de rien ou presque.
Tous les artisans de l’île, ceux-ci provenant de nombreuses contrées, élaborent diverses confections, que ce soit dans un atelier ou encore, dans les usines où les rouages mécaniques y sont alimentés par la force des cascades. L’île, sur le plan des bien manufacturés, est ainsi rendu quasiment auto-suffisante, garantissant une relative prospérité aux habitants qui, établis sur place, ne manquent de rien ou presque.
Gloupond
S’étant pour sa part tenu très à l’écart des frasques du Professeur Stufa, Boala Tars, le héros révolutionnaire, se sera arrogé un petit lopin de terre dans une crique située très en périphérie de l’île. Il y vit une vie paisible après avoir longtemps guerroyé au point de perdre tout esprit combatif à force d’avoir été témoin et acteur de trop de massacres.
Pour autant, il n’oublie pas la Révolution et forme ici quelques rares élèves suffisamment habiles et solides pour maîtriser l’art du Karaté Aquatique.
Pour autant, il n’oublie pas la Révolution et forme ici quelques rares élèves suffisamment habiles et solides pour maîtriser l’art du Karaté Aquatique.
Larmer
Outre ses merveilles d’ingénierie et ses prouesses en matière d’urbanisme ou d’armement, le Professeur Tsufa, lancé dans ses pulsions créatrices, aura poussé le vice jusqu’à s’essayer à une expérimentation jugée dangereuse. À partir d’extraits de Wavy, le cataclysme torrentiel face auxquels l’Armée Révolutionnaire dut faire face à Rough Shores, on élabora Larmer, le défenseur immortel de l’île.
La créature, entièrement faite d’eau et automotrice, peut en effet sans cesse se régénérer avec de l’eau, qu’elle soit issue d’une source d’eau douce ou d’eau de mer. Cette dernière, dépourvue de conscience ou d’intelligence stricte, s’attaque potentiellement à tout ce qui vit autour d’elle, noyant impitoyablement tout mammifère en cherchant à infiltrer ses poumons.
Pour le maintenir occupé, Larmer est enfermé dans un aquarium installé à Overce dans l’ancien laboratoire de son créateur. À l’intérieur de sa prison de verre, la créature cherche sans cesse à s’en prendre aux poissons qui s’y trouvent ; ceux-ci échappant alors à la noyade du fait qu’ils parviennent à respirer à travers l’eau. Il fut décidé que pareille créature ne serait lâchée qu’en dernier recours si invasion il venait à y avoir. Larmer est en effet ingérable et remarquablement difficile à recapturer ; le laisser hors de contrôle pourrait s’avérer pour le moins dommageable pour Ruizel tout entier.
La créature, entièrement faite d’eau et automotrice, peut en effet sans cesse se régénérer avec de l’eau, qu’elle soit issue d’une source d’eau douce ou d’eau de mer. Cette dernière, dépourvue de conscience ou d’intelligence stricte, s’attaque potentiellement à tout ce qui vit autour d’elle, noyant impitoyablement tout mammifère en cherchant à infiltrer ses poumons.
Pour le maintenir occupé, Larmer est enfermé dans un aquarium installé à Overce dans l’ancien laboratoire de son créateur. À l’intérieur de sa prison de verre, la créature cherche sans cesse à s’en prendre aux poissons qui s’y trouvent ; ceux-ci échappant alors à la noyade du fait qu’ils parviennent à respirer à travers l’eau. Il fut décidé que pareille créature ne serait lâchée qu’en dernier recours si invasion il venait à y avoir. Larmer est en effet ingérable et remarquablement difficile à recapturer ; le laisser hors de contrôle pourrait s’avérer pour le moins dommageable pour Ruizel tout entier.
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