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Narrateur
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Admin
Lun 31 Juil 2023 - 8:59
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NIDÏOU

Affiliation: Non-affiliée

Superficie: Moyenne

Population: 350

Effectif Marine : 185

Effectif révo : 0

Effectif pirate: 165

Milice locale : 0


À Nidïou on y trouve des créatures improbables. Des tortues logées dans la pierre, des arbres qui vous crachent des graines, et toutes sortes de petit monstres qui, s’ils sont pour la plupart dépourvus de dents, ont tous ou presque un mécanisme biologique à leur disposition pour mener la vie dure à tout intrus venu se risquer à une excursion par-delà le rivage.
Il s’est dit – à tort ou à raison – que les matières premières qu’on y trouva ici, méritaient amplement que le Gouvernement Mondial s’y établît. Le projet ne fut cependant que bien modestement accueilli par qui fut en charge de le concrétiser en hauts-lieux. Depuis longtemps déjà, le Gouvernement Mondial étend son influence au travers d’îles dont la civilisations s’y trouvent déjà fondée. Coloniser une terre vierge, où la faune s’y trouva en plus hostile, n’apparut aux huiles gouvernementales de North Blue que comme un projet ruineux et de toute manière voué à l’échec.

Avec une volonté si fébrile soufflée en amont pour accomplir un projet de si grande ampleur, l’expédition sur Nidïou serait alors un traquenard pour les marines qui s’y engageraient. Sans budget, sans renfort, sans soutien politique, les colons armés du Gouvernement Mondial furent envoyés sur l’île simplement pour que les agents gouvernementaux puissent à leurs supérieurs politiques que le projet de colonisation était en cours sans avoir à trop faire de dépenses
Ce projet, alors entamé en 1510, s’enlisa dans la tourbe et le sang des hommes tombés au combat.

Partis avec un contingent de mille hommes à peine – un nombre d’hommes « amplement suffisant » d’après le personnel politique – il en subsiste à ce jour un peu moins de deux-cents. Des hommes usés, désespérés de rentrer un jour chez eux, néanmoins aguerris par leur lutte de tous les instants dans cet environnement hostile auquel ils se sont accoutumés. La force des survivants est telle que bon nombre d’entre eux pourraient aspirer à des rangs d’officier supérieur. Mais à moins de conquérir l’île et d’y massacrer toute la faune afin de la rendre habitable, leur mission continuera d’avoir cours à jamais.

Que d’homme sacrifiés sur l’autel de la décision stratégique hasardeuse.

Cette tâche qui leur incombe, maintenant qu’ils se trouvent tous renforcés par l’adversité, pourrait être accomplie en une cinquantaine de jours à peine. Cela, s’il ne s’était pas trouvé le fléau de l’île pour les contrarier dans leur entreprise.
À Nidïou, on trouve en effet un oiseau de Torino, celui-ci chassé par ses congénères du fait qu’il fut trop gros et trop vorace. Cet exilé migrateur, chaque fois qu’il quitte ses récifs montagneux pour un court envol, dissimule le soleil derrière sa large stature. Une ombre tombée soudainement sur l’île accompagné une pluie de plumes, dès lors, préfigurent une chasse aviaire à laquelle il faut s’apprêter.
Vorace et territorial, ce mastodonte ailé attaque tout ce qui n’a rien à faire sur son île. Mouettes comprises.

Le vaincre, cet animal-ci ? La Marine sur place y est parvenue. Et plus de fois qu’ils ne pourraient le dire. Mais à chaque victoire arrachée au fil de l’épée, la créature, retournant se jucher au sommet de sa montagne se transforme en œuf à pois pour en éclore une dizaine de jours plus tard. C’est alors à un péril immortel auxquels les envahisseurs se trouvent confrontés. Pour eux, l’entreprise coloniale s’assimile alors à un supplice de Sisyphe enrobé de plume.

En 1519, un fait nouveau se sera greffé à la chienlit en cours. Un équipage pirate, ayant eu vent de cet oiseau immortel, partit à Nidïou en s’imaginant le capturer pour le vendre le prix fort à des collectionneurs du Nouveau Monde. De là, sur l’île, la survie n’en fut que plus pénible désormais que pirates et Marines se trouvaient occasionnellement, le temps d’une escarmouche. Et cela, sans compter la faune ambiante qui, si bien protégée sous les ailes augustes du maître des lieux, prolifère et nuit à quiconque croise son chemin.
Les bestioles de Nidïou
Les bestioles de Nidïou
Improbables, parfois mignonnes, les créatures de Nidïou sont toutes herbivores, de quoi ainsi tempérer ses inquiétudes. Et pourtant, toutes sont agressives, attaquant indistinctement tous les intrus amenés à pénétrer l’île. Se frayer un passage à Nidïou, même lorsque l’oiseau géant est dans son œuf, nécessite alors de batailler à chaque instant.
 
Le Gran Torino
Le Gran Torino
Cet immense oiseau issu de Torino, haut de plus de vingt mètres, trône à Nidïou, la plupart du temps logé dans son œuf au sommet de l’île, en attendant de renaître. Si la Marine a si bien su lui tenir tête, c’est encore parce que ses effectifs sont assez nombreux pour élaborer des stratégies d’attaque. S’en prendre à lui en petit comité peut cependant conduire à une mort certaine.
 
LesTortues de Roc
Les Tortues de Roc
Se nourrissant de minéraux, qu’il s’agisse de roche ou bien de terre, ces immenses tortures de pierre se dissimulent sous le sol ou dans des parois afin de piéger toute proie susceptible de se trouver à leur portée. Généralement endormies, elles s'avèreront redoutables si vous avez le malheur de déranger leur quiétude.
 
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